Les mythes de la protection solaire démasqués

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Été comme hiver, à l’intérieur comme à l’extérieur, par temps ensoleillé comme couvert, votre peau est toujours exposée à la lumière, c’est-à-dire aux rayons UV. C’est inévitable.

Nous avons tous de plus en plus conscience que toutes les formes de lumière, y compris les écrans, les lampes fluorescentes et même les ampoules à économie d’énergie, émettent des rayons UV qui peuvent endommager la peau à long terme. Vous ne pouvez pas vous cacher du soleil, mais vous pouvez vous prémunir contre ses effets néfastes. Et pour bien commencer, il faut connaître les faits.

Mythe 1 : il faut éviter totalement le soleil

CONSTAT

La plupart des gens se protègent totalement du soleil comme s’il s’agissait de l’ennemi numéro un. Au contraire, l’exposition au soleil (même si elle ne dure que 20 minutes par jour) est essentielle pour la formation de la vitamine D dans l’organisme, qui empêche la fragilisation des os. À l’image de la vie, le tout est de trouver l’équilibre fragile entre le manque et l’excès. En apportant à la peau les vitamines essentielles A, C et E chaque jour, la sécurité de l’exposition au soleil et l’équilibre de la protection sont améliorés.

Mythe 2 : une application de protection solaire suffit pour la journée

CONSTAT

Il est scientifiquement prouvé que les ingrédients des écrans solaires se dégradent au fil du temps. L’exposition directe aux UV en accélère également la dégradation. La règle générale pour une protection solaire sûre et efficace est de choisir un écran solaire à faible indice de protection (avec moins d’ingrédients chimiques) et de le réappliquer toutes les 1,5 à 2 heures si vous êtes exposé directement aux rayons UV.

Mythe 3 : les bancs solaires permettent d’acquérir un bronzage de base en toute sécurité

CONSTAT

Environ s’oppose fermement à l’utilisation des bancs solaires, car ils émettent principalement des rayons UVA qui endommagent la peau et augmentent le risque de photovieillissement ainsi que de cancer de la peau. Il n’existe aucun moyen sûr ou sain de bronzer pour aucun type de peau. Selon le Dr Des Fernandes, fondateur et Directeur scientifique d’Environ, le bronzage est en fin de compte une cicatrice. Une peau qui devient plus foncée est le message que votre ADN envoie à votre peau pour qu’elle produise plus de mélanine afin de se protéger contre d’autres dommages.

Mythe 4 : le maquillage contenant une protection solaire est suffisant pour se protéger le visage

CONSTAT

La plupart des fonds de teint contiennent un SPF15, mais ce n’est pas suffisant pour protéger votre peau contre les effets néfastes des rayons UV. Les UV induisent une perte de la vitamine A et des nutriments essentiels de la peau. De plus, rappelons-nous qu’aucun écran solaire ne bloque efficacement les UVA, qui provoquent des dommages supplémentaires dus aux radicaux libres. Environ recommande l’utilisation d’un écran solaire à large spectre, riche en antioxydants, pour une protection sûre et efficace.

Mythe 5 : un écran solaire n’est pas toujours nécessaire, surtout lorsqu’il fait nuageux ou lorsque vous n’êtes pas exposé au soleil directement

CONSTAT

Penser que la peau n’est pas exposée par temps moins ensoleillé est sans doute la croyance la moins fondée de toutes. En réalité, la peau est toujours exposée à la lumière, et les rayons UV sont toujours néfastes pour la peau, quelle que soit l’intensité de l’exposition. C’est pourquoi la protection solaire devrait faire partie de la routine quotidienne des soins de la peau. Un écran à indice de protection faible contenant des antioxydants et appliqué plus fréquemment constitue une protection solaire sûre et efficace tout au long de la journée. 

Mythe 6 : les écrans solaires n’ont pas de date de péremption

CONSTAT

Les ingrédients actifs d’un écran solaire se dégradent avec le temps. La protection devient donc inefficace si elle est utilisée après sa date de péremption.

Mythe 7 : un indice de protection plus élevé est plus efficace pour prévenir les coups de soleil

CONSTAT

Les indices (SPF) plus élevés sont formulés avec plus d’ingrédients chimiques pour prévenir les coups de soleil sur une plus longue période. Cependant, il est scientifiquement prouvé qu’ils offrent en fait une protection supplémentaire minimale contre les UVB. En fait, il y a moins de 5 % de différence dans la protection contre les UVB entre l’indice 15 et l’indice 50. Les concentrations plus élevées d’ingrédients chimiques de protection solaire peuvent entraîner une augmentation de l’agression des radicaux libres sur la peau. Environ recommande donc un indice faible combiné à des antioxydants qu’il conviendra d’appliquer fréquemment, pour une protection sûre et efficace contre les coups de soleil.

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